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Et-si-je l'avais écrit

"La folie est de toujours se comporter de la même manière
et de s'attendre à un résultat différent."

Albert Einstein



Ils l'ont écrit un jour

Je l'ai écrit un jour
Novembre 2007 : 2 articles
Septembre 2007 : 7 articles
Août 2007 : 3 articles
Juillet 2007 : 2 articles
Juin 2007 : 3 articles
Mai 2007 : 3 articles
Avril 2007 : 1 article
Mars 2007 : 2 articles
Février 2007 : 1 article
Décembre 2006 : 2 articles
Novembre 2006 : 1 article
Octobre 2006 : 6 articles

Et-si-vous laissiez une petite trace ?
Et-si-je : Ce n'est pas parce que la liberté n'a pas de prix qu'elle n'a pas de valeur
passionnee-par-les-reves : juste que c'est une jolie découverte...
choupi : "avec des si on refaisait le monde" hein... joli joueb en tout cas...


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Une parenthèse (5)

(suite et peut-être fin)


"Pourquoi toujours s'arrêter sur des visages de femmes très belles ?

Pourquoi ne pas apprécier un sourire agréable, une petite ride, une joue ronde, une imperfection dans les perfections de chaque être humain?

Regarde sur ta route, tu croiseras des "femmes et des hommes" réels, et non des beautés extraordinaires.

A toi de trouver la richesse cachée en chacun d'eux et tu trouveras un monde parfait dans un monde imparfait..."


C'est toi qui a raison,
Et ce n'est pas la première ni la dernière fois, sans aucun doute !

On peut tout fantasmer, sauf la réalité.
On peut imaginer son prince ou sa princesse charmant(e)
en s'accrochant à une image que l'on ne rencontrera jamais.

On peut attendre indéfiniment...

Je pourrais attendre longtemps, trop longtemps,
Je pourrais chercher et ne jamais trouver,
Je peux rester prostrée, fustrée,
Condamnée à ne plus faire un pas en avant,
Suspendue pour l'éternité à attendre des réponses à des questions stériles.

Mais, ce que je sais maintenant, un peu plus clairement,
C'est que mon chemin de paix intérieure est encore long à parcourir.
Enfin, je me suis mise en route en emmagasinant des images réelles,
Et une seule démarche ne suffit ni à se satisfaire, ni à dissimuler les doutes,
Une première découverte, quelle qu'elle soit, n'apporte aucune certitude.

A trop penser, imaginer, anticiper, je me suis bercée d'illusions,
Et, confrontée à la réalité, c'est une énorme déception qui s'est installée.
J'avais mis la barre trop haute, tant je voulais obtenir du concret dans l'immédiat.
Seule, je me sentais suffisament forte pour braver toutes mes émotions,
Et ce sont finalement elles qui m'ont submergée avec force et violence.

J'allais tout abandonner, refermer une fois encore, et sous clef, ce trop lourd secret.
J'étais prête à l'enfouir à nouveau sous des tonnes d'autres préoccupations moins imposantes.

Et puis, après une semaine complète de prise de recul et de solitude difficile à gérer,
Il s'est à nouveau imposer à moi comme une évidence, une évidence existencielle.
J'ai partagé mon fardeau, oh, ce n'est pas grâce à mon courage, non !
On croit connaître les gens avec lesquels on partage notre vie depuis si longtemps,
et puis ils finissent pourtant par nous surprendre encore et toujours, malgré tout !

Il s'est assis en face de moi, il s'est installé confortablement,
comme lorsqu'on a du temps à consacrer, du temps pour écouter,
et tout dans son attitude montrait la sérénité, l'empathie,
l'envie (ou le besoin) non pas de parler, mais d'ouvrir le dialogue, de favoriser le partage.
Comment, aux moments les plus cruciaux de ma vie,
a-t-il toujours senti qu'il était temps de s'arrêter quelques instants ?

Il m'a donné le courage de lui expliquer ma démarche, mes questions, mes besoins,
mes déceptions, mes mensonges, mes doutes face à ce que je vis, avec ou sans lui.
Il s'est montré aimant, tolérant, compréhensif...
Mais, il m'a parlé de lui aussi, oh quel bonheur, il m'a ouvert son coeur et offert
ses propres questionnements, ses propres fantasmes, ses propres doutes
mais aussi ses certitudes dans notre relation, sa vision du couple face à la crise de la quarantaine !

Je l'aime...
d'une manière indescriptible,
avec une intensité incommensurable,
Je l'aime...
comme je ne pourrai jamais aimer personne d'autre,
ni homme, ni femme.

Il m'aime en me montrant à quel point il veut mon bonheur
en me laissant chercher (et peut-être) trouver l'espace dont j'ai besoin
pour m'épanouir pleinement, sans justification ou contre-partie contraignante.

Il m'aime et je me dois de montrer d'être digne de son amour, évidemment !




Ecrit par et-si-je, à 01:52 dans la rubrique "Et-si-je parlais de moi".



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