Trois nuits blanches
Si au moins je les avais passer à faire la fête,
à m'évader loin de tous mes tracas...
ou du moins, avoir pu les laisser de côté
le temps de quelques soirées amusantes !
Mais non, ces nuits sont trop longues,
blanches pour une fois n'étant pas synonyme
de pureté, de douceur ou de sérénité.
Trois nuits blanches d'affilée,
et autant de fatigue qui s'accumule
J'ai les traits tirées, je suis épuisée,
mais tous mes muscles sont tendus à l'extrême.
Trois nuits blanches dans le noir,
seule, parce qu'il faut respecter le sommeil des autres,
seule, parce que le temps semble ralentir,
seule au milieu de nulle part.
Je connais mes besoins, mais je ne sais pas les écouter.
Je cherche de nouveaux sentiers, mais j'ai de la peine à avancer.
Je devrais pouvoir dire, mais je ne trouve pas les bons mots.
Je doute de moi et de mes facultés, je remets tout en cause.
Mais est-ce bien nécessaire ?
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griffebleue
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bonjour dans la solitude autrui devient insupportable puis soi devient autrui puis soi devient insupportable il faut alors retrouver la tendresse pour son corps seul soi je ne fais que découvrir vos articles quelque chose dans votre problématique m'intrigue bonne continuation à vous griffebleue
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à 22:21