Parler d'amour au bord du gouffre
Je viens d'entendre Boris Cyrulnik, psychologue et directeur d'enseignement de "la clinique de l'attachement" à l'université de Toulon, qui a publié "Parler d'amour au bord du gouffre", décrire l'une de ses interprétations de l'amour :
Je suis amoureux(se) de l'idée de ce que je me fais d'elle ou je suis amoureux(se) de ce qu'elle suscite en moi
J'ai l'impression que cela décrit très bien ce que l'on nomme le coup de foudre, oui, et que dans ces conditions-là, on ne connaît rien de la personne dont on est tombé-e (mais pourquoi donc utilise-t-on le mot tombé, qui peut faire si mal - ou mâle ? hein ?), ... je disais donc, de la personne dont on est tombé-e amoureux(se).
Et puis après apparaît "certainement" ou "vraisemblablement" l'amour-attachement, ou comment de DEUX personnes totalement différentes, uniques, naît UN couple.
Amour-fou-éclair et Amour-longue-durée ... et-si-j'étais en train de ressentir ces deux sentiments-là en même temps ? mon coeur balance entre culpabilité et recherche de l'absolu.
Et pourquoi donc est-ce que je me sens obligée de mettre tous mes mots aux genres masculin Et féminin, comme pour troubler encore plus le sens de mon écrit ?
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Anonyme
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l'amour est une névrose d'après Freud mais, certaines névroses enjolivent un peu ou beaucoup le quotidien, et puis d'un autre côté, essayer de surmonter ou d'être conscient de ces pseudo faiblesses est très valorisant, en fait je suis très amoureuse d'un jeune homme névrosé
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à 00:50