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Et-si-je l'avais écrit

"La folie est de toujours se comporter de la même manière
et de s'attendre à un résultat différent."

Albert Einstein



Ils l'ont écrit un jour

Je l'ai écrit un jour
Novembre 2007 : 2 articles
Septembre 2007 : 7 articles
Août 2007 : 3 articles
Juillet 2007 : 2 articles
Juin 2007 : 3 articles
Mai 2007 : 3 articles
Avril 2007 : 1 article
Mars 2007 : 2 articles
Février 2007 : 1 article
Décembre 2006 : 2 articles
Novembre 2006 : 1 article
Octobre 2006 : 6 articles

Et-si-vous laissiez une petite trace ?
Et-si-je : Ce n'est pas parce que la liberté n'a pas de prix qu'elle n'a pas de valeur
passionnee-par-les-reves : juste que c'est une jolie découverte...
choupi : "avec des si on refaisait le monde" hein... joli joueb en tout cas...


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Avancée
Finalement, 2 heures après le dernier message posté, j'avais pris rendez-vous et me sentais soulagée d'avoir oser enfin faire ce pas... bien sûr, à cet instant-là, je n'avais mis que la clef dans le contact, mais pas encore démarrer la voiture... mais ce tout petit geste me semble déjà un énorme passage dans ma vie.

2 août :
mon scooter est en panne, je vais emprûnter un véhicule en catastrophe, évidemment j'arrive en retard (3 petites minutes chrono, après avoir roulé de manière un peu sportive, et en ayant couru tout en boitillant, car j'ai un mal de chien à une cheville), pire, au moment d'arriver dans le bâtiment, je ne trouve pas l'adresse exacte, j'essaie de téléphoner mais personne ne répond... Finalement, je tourne en rond, je questionne, je cherche et
un quart d'heure passe, ... et mon téléphone sonne enfin : je me suis trompée de rue !

J'arrive en sueur, complètement essouflée, et je suis reçue par un geste qui me fait tout oublier : un bonjour en forme d'embrassade, chaleureux bras qui m'accueillent cordialement et me réconfortent d'emblée.

J'avais de la peine à m'imaginer par quel bout j'allais balancer mon trop plein, et même lorsqu'on pense à tout à l'avance, rien ne se passe comme prévu.

En réalité, j'ai eu l'impression d'être brouillon, mais d'avoir réussi, tout de même, à dire ce que j'avais à décharger-là, pour une première fois... (comme dit Lynda : " Si je viens vous voir, vous, le diplômé / A qui l'désespoir rapporte / Si j'franchis votre porte / Toutes les deux s'maines / La poitrine pleine de peine ...")

Lorsque je suis sortie, une heure plus tard, j'avais le sentiment d'une certaine sérénité, mes pas étaient légers...

Je me rends compte maintenant que le remue-méninge s'installe petit à petit... que les jours et les nuits qui passent m'envoient des messages, de renvoient des phrases dites, me mijotent de nouveaux sujets de réflexion ou de prises de conscience... Pas facile d'entendre ce qu'on craint, pas facile de digérer ce qu'on rechigne à avaler depuis tant d'années.

Je ne crains pas d'y retourner, j'ai seulement peur de moi.




Ecrit par Et-si-je, à 22:11 dans la rubrique "Et-si-je parlais de moi".



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